Depuis 2011 la Métropole toulousaine encourage ses services à publier les données produites dans le cadre de leurs missions dans un souci de transparence et afin de susciter la création de nouveaux services par des partenaires extérieurs. Placées sous la licence OdbL , ces données structurées peuvent être librement réutilisées y compris pour des usages commerciaux, à condition d'en indiquer la source et de respecter le partage à l'identique.
En 2017, afin d'harmoniser leurs pratiques dans cette démarche, les services culturels de la ville de Toulouse se sont concertés, sous l'impulsion des Archives municipales déjà bien engagées dans l'ouverture de leurs ressources, pour proposer une délibération sur la Réutilisation des données publiques et des œuvres gérées par les établissements patrimoniaux de la ville de Toulouse (17-0360).
C'est dans ce contexte que le musée Saint-Raymond a mené une réflexion avec le service open data de la Métropole sur les données susceptibles de présenter un intérêt. Cinq jeux ont ainsi été définis : l'inventaire général des collections, l'inventaire des collections en dépôt, les expositions présentées au musée, les fichiers des modélisation 3D des collections et l'agenda des événements.
Les trois premiers sont désormais téléchargeables sur la plateforme s'ajoutant aux jeux de données culturelles déjà présents, dont le nombre s'élève aujourd'hui à 35. Les deux autres jeux prévus seront versés très prochainement.
Les fichiers d'inventaire sont le résultat d'une extraction de la base interne de gestion des collections. Née dans les années 90, cette base souffre d'un manque d'harmonisation car elle a été alimentée par différents contributeurs sans véritable charte de saisie préalable. Depuis quelques mois un travail de nettoyage et d'harmonisation des donnée est entrepris. La mise à jour annuelle des jeux de données sur la plateforme permettra d'en améliorer progressivement la qualité.
Les champs exportés ont été sélectionnées en adéquation avec les rubriques règlementaires de l'inventaire fixées par le ministère de la Culture et selon la pertinence de leur contenu.
Il est tout à fait envisageable de répondre par ailleurs à des demandes spécifiques d'export de données correspondant à un besoin précis.
Cette démarche s'inscrit dans les missions de partage des connaissances autour des collections et des activités du musée et témoigne de la volonté d'engager davantage les publics dans l'appropriation des biens communs qui y sont conservés. Elle offre par ailleurs la possiblité à l'institution d'assurer désormais une diffusion plus large des collections sur des plateformes de publication ouvertes telles qu'Europeana ou les projets Wikimedia.
En 2017, afin d'harmoniser leurs pratiques dans cette démarche, les services culturels de la ville de Toulouse se sont concertés, sous l'impulsion des Archives municipales déjà bien engagées dans l'ouverture de leurs ressources, pour proposer une délibération sur la Réutilisation des données publiques et des œuvres gérées par les établissements patrimoniaux de la ville de Toulouse (17-0360).
C'est dans ce contexte que le musée Saint-Raymond a mené une réflexion avec le service open data de la Métropole sur les données susceptibles de présenter un intérêt. Cinq jeux ont ainsi été définis : l'inventaire général des collections, l'inventaire des collections en dépôt, les expositions présentées au musée, les fichiers des modélisation 3D des collections et l'agenda des événements.
Les trois premiers sont désormais téléchargeables sur la plateforme s'ajoutant aux jeux de données culturelles déjà présents, dont le nombre s'élève aujourd'hui à 35. Les deux autres jeux prévus seront versés très prochainement.
Les fichiers d'inventaire sont le résultat d'une extraction de la base interne de gestion des collections. Née dans les années 90, cette base souffre d'un manque d'harmonisation car elle a été alimentée par différents contributeurs sans véritable charte de saisie préalable. Depuis quelques mois un travail de nettoyage et d'harmonisation des donnée est entrepris. La mise à jour annuelle des jeux de données sur la plateforme permettra d'en améliorer progressivement la qualité.
Les champs exportés ont été sélectionnées en adéquation avec les rubriques règlementaires de l'inventaire fixées par le ministère de la Culture et selon la pertinence de leur contenu.
Il est tout à fait envisageable de répondre par ailleurs à des demandes spécifiques d'export de données correspondant à un besoin précis.
Cette démarche s'inscrit dans les missions de partage des connaissances autour des collections et des activités du musée et témoigne de la volonté d'engager davantage les publics dans l'appropriation des biens communs qui y sont conservés. Elle offre par ailleurs la possiblité à l'institution d'assurer désormais une diffusion plus large des collections sur des plateformes de publication ouvertes telles qu'Europeana ou les projets Wikimedia.